Dans la frénésie urbaine, où le rythme de la vie semble prendre le dessus sur le silence des résolutions, il existe une autre réalité cachée derrière les façades des immeubles, les trottoirs arborés et les rues bien éclairées. C’est là qu’on retrouve l’intriguant thème du roman « Le club des pompeurs », un mystère qui hypnotise et agrippe le lecteur de la première page à la dernière, sans lui laisser la moindre chance de détourner le regard.

Le club en question est d’abord apparu comme un simple groupement d’individus qui s’étaient donné pour but unificateur de nettoyer certaines artefacts historiques et divinaires qui se trouvent enfouis à des profondeurs considérables des villes. Mais comme d’habitude, l’apparence trompeuse abonde profondément dans les brumes d’une réalité bien plus chaotique et dangereuse. Des indices opaques et la survenue d’événements malheureux semblent faire planer un drame sanglant qui pourrait conduire ces bruitistes inexorables vers une descente aux enfers.

Au fur et à mesure, l’auteur dévoile des détails ahurissants et mystérieux sur cette enclave quasi-cristallise et les forgerons négligent dangereuses dont elle est composée. Nos protagonistes abordent bientôt une partie brûlante de leurs choix culturels ; dans ce magma qui les surpend, la présence de forces bien au-delà de la réelle signification du Club tend à déborder les enveloppes des livres ontologiques anciens.